Interview sur “L’autre, un catalyseur de conscience, une bénédiction, BARAKA”,Radio Enghien, Joelle Verain

Emission du 2 mars 2020 avec Aurélien Millot, Grand rêveur éveillé, parenfant et occidentaloriental (vivant dans l’empire du milieu depuis des années), est passionné par la spiritualité ainsi que par les mystères de la vie de manière théorique mais aussi expérimentale. Il a passé la plupart de sa vie (et même au-delà) à voyager de manière intérieure et extérieure en parcourant le monde physique et métaphysique et en restituant ces expériences dans différents recueils par pure passion en romançant la réalité pour la rendre plus douce. A vrai dire depuis 15 ans de manière très spéciale il pratique l’écriture automatique, se sentant connecté, en quelque sorte : « on lui écrit… ». 

Chef d’entreprise, professeur en MBA, co-créateur d’un centre holistique. Autour de son livre : Baraka-Casser la baraque Nous sommes en mutation rapide mais que se passe-t-il concrètement, comment négocier ce virage qui semble périlleux et tel un déluge noie bon nombre de personnes dans les larmes de la mer. L’âme erre. Nous sentons intimement que ça ne pourra pas continuer indéfiniment en l’état : ça ne tourne pas rond au niveau social, économico-financier, environnemental… 

Aurélien Millot, un peu mystique, un peu ésotérique nous propose son chemin. D’autant plus intéressant qu’il est un homme d’affaires achevé. Dans la tradition, faisant partie de la Connaissance et du patrimoine mondial de l’humanité, “Baraka” signifie “la bénédiction”, pour laquelle l’autre, l’alter, l’étranger est perçu comme des mains tendues, une aide, un soutien, une collaboration et non pas comme des poings, une menace, un poids, une compétition. Dans cette sagesse ancestrale et bon sens naturel, l’autre nous fait accoucher de nous-même et représente des facettes du miroir infini des perceptions de la vie tel un gigantesque kaléidoscope. 

Rumi disait “La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu et qui s’est brisé. Chacun en ramasse un fragment et dit que toute la vérité s’y trouve.” Nous semblons venir de l’Unité, l’Absolu et dans notre chute, l’humanité a dû s’en séparer pour s’incarner afin de mieux retrouver en soi et grâce à l’autre en tant que réflexion, cette Conscience divine. Chaque pièce, chaque composant permettant de recomposer le puzzle infini et d’en admirer le chef d’œuvre. Tel semble être subtilement le Grand Œuvre, l’énigme secrète de l’existence dans la mesure où pour exister, qui signifie étymologiquement “segmenter”, cette séparation du Grand Tout demeure nécessaire. Nous sommes en mutation rapide mais que se passe-t-il concrètement, comment négocier ce virage qui semble périlleux et tel un déluge noie bon nombre de personnes dans les larmes de la mer. L’âme erre. Nous sentons intimement que ça ne pourra pas continuer indéfiniment en l’état : ça ne tourne pas rond au niveau social, économico-financier, environnemental… 

Aurélien Millot, un peu mystique, un peu ésotérique nous propose son chemin. D’autant plus intéressant qu’il est un homme d’affaires achevé. Dans la tradition, faisant partie de la Connaissance et du patrimoine mondial de l’humanité, “Baraka” signifie “la bénédiction”, pour laquelle l’autre, l’alter, l’étranger est perçu comme des mains tendues, une aide, un soutien, une collaboration et non pas comme des poings, une menace, un poids, une compétition. Dans cette sagesse ancestrale et bon sens naturel, l’autre nous fait accoucher de nous-même et représente des facettes du miroir infini des perceptions de la vie tel un gigantesque kaléidoscope. 

Rumi disait “La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu et qui s’est brisé. Chacun en ramasse un fragment et dit que toute la vérité s’y trouve.” Nous semblons venir de l’Unité, l’Absolu et dans notre chute, l’humanité a dû s’en séparer pour s’incarner afin de mieux retrouver en soi et grâce à l’autre en tant que réflexion, cette Conscience divine. Chaque pièce, chaque composant permettant de recomposer le puzzle infini et d’en admirer le chef d’œuvre. Tel semble être subtilement le Grand Œuvre, l’énigme secrète de l’existence dans la mesure où pour exister, qui signifie étymologiquement “segmenter”, cette séparation du Grand Tout demeure nécessaire.

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